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Et soudain, l’abondance coule…

Je vais vous raconter comment ma relation à l’argent s’est transformée. Comment ma qualité de vie a augmentée et comment je me suis enfin épanouie dans mes projets en seulement quelques mois.

Mon salaire n’est pourtant pas plus élevé que lorsque j’avais mes peurs de manquer, mais l’argent est arrivé à moi par toutes sortes de manières différentes. Les opportunités se sont multipliées et je ne me prive plus. L’abondance est là, je mérite l’abondance et ça fait une grosse différence de vraiment croire qu’on le mérite.

Et on le mérite tous.

Et vous, avez-vous une belle relation avec l’argent ?

Est-ce que le manque d’argent vous empêche d’exprimer votre plein potentiel ?

Si vous pensez que vous ne pouvez pas attendre vos objectifs sans argent, si vous pensez que l’argent est très dur à gagner, si vous pensez que la vie vous empêche d’avoir de l’argent et si vous pensez que sans argent vous ne pouvez pas vous réaliser… Tout ça n’est pas vrai, ce sont des pensées limitantes. Les freins sont à l’intérieur de vous.

John Bauer - Swedish folk tales

Quand j’étais petite, je voyais mon père travailler dur et gagner l’argent à la sueur de son front. Ma mère essayait de se réaliser dans sa passion, mais elle a dû délaisser ce quelle aimait faire pour aider mon père, car son entreprise était plus importante que sa passion. Le sort des femmes de cette génération.

On ne payait pas d’impôts, me racontait ma mère pour montrer à quel point on était pauvres à cette période et rajoutait qu’elle comptabilisait même ce que lui coûtait les croquettes du chat.

Plus tard, leur situation s’est vivement améliorée grâce à leur travail, mais je voyais toujours mon père travailler durement du matin au soir. Ma mère travaillait avec lui, mais devait en plus s’occuper de la maison et de moi. Je n’ai jamais manqué de rien. Nous vivions très bien, mais y parvenir me semblait laborieux. Je voyais bien que je leur coûtais cher alors je faisais mon possible pour être discrète, pour ne rien vouloir. Les cadeaux me mettaient très mal à l’aise. Et lorsque j’étais adolescente, au pensionnat, j’ai fait une dépression car je me sentais mal de voir ce que ça leur coûtait de m’avoir mise dans cette prestigieuse école. J’y étais heureuse, mais pour moi je ne le méritais pas. Lorsqu'ils m’ont retiré de là, ça n’est pas allé mieux car ma mère s’efforçait d’être à la maison lorsque je rentrais de l’école et moi je culpabilisais qu’à cause de moi elle ne puisse plus travailler autant.

Dans ma vie d’adulte, quand j’ai commencé à travailler, je n’ai jamais eu besoin de beaucoup d’argent parce que j’avais appris à m’autosuffire et me contenter de peu pour vivre mon bonheur. Pour obtenir un meilleur salaire je devais travailler très dur pour le mériter, mais bien souvent je travaillais dur pour peu, mais ce n’était pas grave parce que je me contentais de peu sinon presque rien.

Mais j'étais tellement terrifiée que la vie me reprenne ce qu’elle m’avait donné que je ne dépensais pas, je mettais mon argent de coté sans jamais prendre de risques pour mes projets, sans jamais investir ni avancer.

John Bauer - Swedish folk tales

Pourtant j’ai eu cette chance de toujours rencontrer de belles personnes qui m’ont tiré vers le haut. Des personnes généreuses dans tous les sens du terme. Je les ai aussi souvent repoussés parce que j’avais peur qu’on me trouve vénal, peur qu’on me prenne pour une profiteuse, j’avais peur d’être de trop dans leur vie. Je ne voulais pas être comme le chat qui grignotait le budget de la famille. Je restais toujours discrète et tâchais de ne jamais rien coûter à personne pour être acceptée et aimée.

Un jour, mon amoureux a outrepassé mes résistances et m’a offert un bijou qui coûtait une fortune. Pour lui, c’était une preuve amour comme une autre, mais pour moi je ne méritais pas ça, je n’étais pas assez importante pour recevoir un cadeau d’une telle valeur. Une terrible culpabilité m’a emportée durant plusieurs jours et je n’arrivais pas à éprouver de gratitude. Pourtant, l’idée qu’il me montre que j’avais beaucoup de valeur et que je le méritais, m’a fait du bien. Je voyais bien que c’était moi qui pensais ne pas mériter qu’on s’intéresse à moi.

C’est là que j’ai décidé de soigner mon conflit avec l’argent.

John Bauer - Swedish folk tales

Je suis d’abord allée voir ma kinésiologue pour travailler sur mes blocages énergétiques. Ça a été un premier pas pour moi, j’ai commencé à être moins dans la culpabilité, mais l’abondance n’était toujours pas dans ma vie.

J’ai lu Père Riche, Père Pauvre de Robert T. Kiosaki et j’ai compris l’importance de nos discours intérieurs provenant de notre éducation. J’ai continué avec pas mal de lecture sur le sujet, notamment Réfléchissez et Devenez Riche de Napoleon Hill. C’était très instructif, mais ça ne suffisait pas à transformer ma vie.

"It's not what you say out of your mouth

that determines your life,

it's what you whisper to yourself

that has the most power!"

- Robert T. Kiosaki

Deux ans plus tard, Jean Pierre Gagné, spécialiste du potentiel humain, auteur et conférencier, sortait son programme « comprendre et guérir ma relation à l’argent. »

Ce n’est pas un programme comme les autres, on ne nous apprend pas une formule pour devenir riche, non, ça il y en a plein le web, ce n’est pas ça. Son programme comprendre et guérir ma relation à l’argent nous permet d’aller en profondeur, de travailler sur soi et de nous rendre compte qu’il y a plein d’histoires qui se trament sous nos blocages. Grâce à lui j’ai appris que chaque situation est une opportunité de se découvrir, de comprendre et guérir sa relation à l’argent, sa relation à l’amour, sa relation aux autres et à soi. Grâce à lui, j’ai arrêté d’être dans la peur et j’ai juste accepté de vivre dans l’abondance.

John Bauer - Swedish folk tales

Je connais Jean Pierre Gagné depuis plusieurs années alors je ne pouvais que lui faire confiance et j’ai eu raison. Jean Pierre est un éveilleur, c’est celui qui nous montre qu’on peut atteindre notre lune, dans une société qui nous apprend à regarder le doigt.

Nos croyances sont conditionnées par notre environnement et notre éducation. J’ai vécu longtemps avec un état d’esprit de peur de manquer d’argent, qu’on allait me reprendre ce qu’on m’avait donné et que je n’allais plus jamais ravoir. Je pourrais appeler ça le syndrome de l’huissier. Je me privais pour mille et une raisons, j’engrangeais ce que je gagnais sans y toucher pour avoir toujours une poire pour la soif. Pour le jour où tout irait mal. Je ne vivais pas ce que je sentais au fond de mon cœur, je restais dans mon petit monde, je ne me mettais pas du tout en danger et surtout je ne me remettais pas en question, car si je changeais je deviendrais responsable de ma vie et de mes choix. Manquer d’argent était un formidable prétexte pour que rien ne vienne me bousculer.

Les excuses que j’utilisais étaient : je ne mérite pas de faire de l’argent, je ne mérite pas de recevoir de l’argent ou des cadeaux, je ne le vaux pas, je n’ai pas fait assez d’effort pour ça, je ne suis pas assez bien, je ne suis pas assez intéressante, je ne mérite pas de réussir, d’être dans l’abondance, d’avoir le meilleur, je suis insignifiante, tout ça c’est pas pour moi. Je finissais par saboter les relations pour éviter les opportunités qu’on m’offrait et les occasions de grandir me filaient entre les doigts. Une grande partie de moi se freinait beaucoup de prendre de l’importance, de faire fleurir mes projets. J’avais peur d’une autre manière qu’on ne veuille pas m’aimer si j’avais de l’argent. Tout autant que je refusais le succès, je refusais de me mettre sur le devant de la scène, je refusais d’être en lumière.

Et puis il y a cette phrase entêtante « Tu es déjà heureuse, tu n’as pas besoin d’argent » comme si je devais faire un choix entre les deux. Comme si l’un m’empêchait d’accéder à l’autre. Dorénavant je choisis d'être heureuse ET d'accéder à l'abondance.

J’ai travaillé sur chacune de mes excuses et sur tout ce qui me dérangeait dans mes propres réflexions. Quand j’ai ouvert les yeux sur ce qui émanait de mes croyances, j’ai compris que tout ça n’avait rien à voir avec l’argent et que tout se jouait derrière les excuses que j’utilisais. Et ce déclic n’était qu’une toute petite partie du truc, car ça a fait son chemin ensuite, tout à commencé à prendre un sens, à s’aligner avec mes vraies valeurs, avec mes vrais désirs et je me suis libérée petit à petit. Je n’ai plus eu peur de recevoir et de m’ouvrir à l’abondance qui était déjà autour de moi.

"I saw

that my life

was a vast glowing empty page

and I could do anything

I wanted."

- Jack Kerouac

J’ai mis au grand jour mes blocages et dans les semaines qui ont suivi j’ai commencé à obtenir tout ce que je voulais. Ça a été incroyable ! J’ai compris que j’étais 100 % responsable de toute mon expérience, qu’il n’y a aucun blocage extérieur à moi, aucun frein à l’extérieur de moi, que l’argent n’a jamais été le problème, que c’est une bonne excuse qu’on utilise pour ne pas vivre ce qu’on ressent au plus profond de soi, tout simplement parce qu’on a peur de se rencontrer, de devoir se remettre en question et on a peur de suivre l’appel qui est au fond de nous.

On pense que la vie ne nous donne pas, mais en fait c’est nous qui ne voulons pas voir, c’est nous qui ne voulons pas recevoir parce qu’on a des cadenas et des pensées limitantes. Ça ne m’empêche pas d’avoir encore peur parfois, mais 90 % de nos peurs sont irréelles et ne sont que des constructions de notre mental. La peur c’est la représentation du réel et pas la réalité. Et maintenant que je le sais, cette peur se transforme en excitation parce que je suis confiante et je sais que la vie me soutiendra.

C’est plus que mon rapport à l’argent qui a changé, c’est une nouvelle liberté, une prise de responsabilité sur mes décisions et mes choix. Le programme de Jean Pierre Gagné m’a permis de mettre au grand jour quelque chose d’immense que j’avais en moi et ça n’a plus jamais été un frein dans ma vie, je n’ai plus jamais cru que l’argent rendait quelque chose impossible.

J’ai appris à dire le mot magique d’acceptation : Merci.

Think bigger - batman kid

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